Recruter ou faire appel à un freelance est quasiment une question digne de la célèbre pièce de théâtre “Hamlet” et sa tirade “être ou ne pas être”. Les arguments “pour” et les arguments “contre” peuvent parfois s’équilibrer. Voici pourquoi.
Un freelance c’est quoi ?
Le terme “freelance” désigne tous les travailleurs simultanément qualifiés et menant leurs activités à l’extérieur des entreprises. Ils ont le plus souvent pour principal fonds de commerce leur savoir.
Le profil : assez souvent jeune, en deçà de 30 ans, mais il y a aussi des personnes matures voulant faire valoir les compétences acquises pendant leur carrière. Les métiers relatifs aux Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication concentrent la majorité des freelances. Ces derniers sont quasiment un million en France.
Initialement ce type de travailleur était sollicité uniquement par des startups, mais avec l’omniprésence de la technologie et les contraintes de l’économie contemporaine, rien qu’en France plus de la moitié des entreprises cotées en bourse ont déjà fait appel au moins à un freelance.
Quand les recruter ?
Il est pertinent de faire travailler un freelance pour externaliser le traitement d’un travail ponctuel. Ainsi pour :
- Effectuer la mise en page d’un document,
- Animer une activité spécifique,
- Intervenir sur le réseau informatique,
- Assurer la transition entre deux périodes complexes pour l’entreprise.
Il est plus simple d’aller trouver votre freelance sur un site web et lui confier ce travail. Ainsi, vous pourrez rester concentrés sur les travaux constituant votre cœur de métier.
Quand les embaucher ?
Pensez à un emploi à plein ou à mi-temps pour un freelance lorsqu’il doit :
- D’abord, intervenir sur des données sensibles, confidentielles de votre entreprise.
- Ensuite, lorsque ses interventions deviennent très fréquentes.
- Enfin, lorsque votre entreprise a les moyens de payer le salaire que le freelance demande. Dans des secteurs tels que la programmation, un débutant atteint facilement 3000 euros !